Posté le le 12 Novembre 2025
C'est clair que l'assurance et les conditions de conservation sont des points absolument essentiels. On parle quand même de produits qui peuvent valoir une petite fortune, donc la négligence n'est pas une option.
Pour donner un peu de contexte, j'ai fait quelques recherches sur les coûts de stockage et les assurances, et c'est assez variable. Certaines plateformes proposent des assurances "tous risques" qui couvrent la casse, le vol, et même la dégradation due à des variations de température ou d'hygrométrie, mais ça se paie. D'autres assurances sont plus basiques et ne couvrent que certains risques.
En termes de coûts de stockage, j'ai vu des tarifs allant de 0,5% à 1,5% de la valeur des bouteilles par an, ce qui n'est pas négligeable, surtout si on vise une plus-value à long terme. Il faut vraiment bien calculer son coup pour s'assurer que les frais ne grignotent pas tout le potentiel de rendement.
Et puis, il y a la question de la fiscalité, comme Datalchimiste le soulignait plus haut. En France, par exemple, les plus-values réalisées sur la vente de vins sont soumises à l'impôt sur le revenu, sauf si la vente est occasionnelle et que le prix de vente ne dépasse pas 5000 euros. Au-delà, c'est imposable. Donc, là aussi, il faut prendre en compte cet aspect pour évaluer la rentabilité réelle de l'investissement.
Pour finir sur une note plus positive, j'ai lu pas mal d'articles qui soulignent l'importance de la diversification dans ce type d'investissement. Ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier, quoi. Varier les régions, les propriétés, les millésimes... Cela permet de limiter les risques et d'optimiser les chances de succès. Et comme le disait justement la data, ne surtout pas dépasser les 10% du patrimoine global, ça reste un investissement plaisir, on est d'accord.